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Vous l'ignorez, car nous le fêtons généralement dans la plus stricte intimité d'un grand hôtel lillois réputé pour ses animations de soirées, mais voilà déjà cinq ans qu'Alf et moi collaboronsensemble. Je ne sais pas lui, mais moi, je n'ai pas vu le temps passer. Je ne vous ferai pas le panégyrique de toutes les qualités humaines de mon camarade ; il suffit pour vous donner une idée du personnage de savoir que jamais une tête de con comme moi n'a été capable de collaborer de manière régulière avec quelqu'un durant aussi longtemps. C'est vous dire si Alf est un homme extraordinaire, qui gagne à être connu, et si je ne suis pas peu fier que l'anniversaire de notre rencontre coïncide avec sa première exposition, prélude à ce qui sera je l'espère une longue et grande carrière solo pleine d'amour, de gloire, de beauté et de filles faciles. Selon les jours, Alf est soit comme un enfant un peu couillon que j'ai vu grandir avec plaisir, soit comme un cousin un peu chiant que j'aime bien quand même, soit - le plus souvent - comme un petit chinois que je ferais travailler au black dans mon sous-sol. Mais surtout, Alf est un vieux copain sans qui ce blog ne serait pas tout à fait ce qu'il est, et l'une des très rares personnes à pouvoir en critiquer certains aspects sans se faire traiter de noms que je n'oserais pas écrire à une heure de grande écoute. Autant le dire, ce triomphe solo m'angoisse même un peu, car si Le Golb existait bien avant notre couple, je ne suis pas convaincu qu'il survivrait à une rupture. En cinq ans, j'ai souvent embêté Alf, lui en ai fait voir des vertes et des pas mûres... j'ai même été un jour jusqu'à lui faire illustrer un édito pour en publier un totalement différent le jour venu. Pas en reste, il n'a jamais hésité à se venger en me représentant dans des positions parfois extrêmement compromettantes, en me dessinant comme un vieux poivrot obèse et même en me disant un jour d'aller me faire foutre et qu'il n'illustrerait jamais un article sur le foot. Mais au milieu de tout cela, il était bien question d'amour, peut-être un peu vache mais allons : j'ai tout de même un de ses dessins au-dessus de mon bureau, et lui même un de mes textes encadrés et... attendez, non, en fait. Je ne crois pas qu'il ait accroché un de mes textes au-dessus de son bureau... quel enfoiré, quand j'y pense...
Enfin bref. Alf, rien que sur ce blog, c'est tout de même la bagatelle de cent-douze numéros de la rubrique Golb this World!!!, sans parler des dessins hors séries et des featurings occasionnels chez mes (autres) camarades d'Interlignage. C'est donc avec plaisir que je vous convie quelque part sur le Campus de la Plaine (oui, c'est en Belgique) quelque part entre le 18 avril et le 28 juin prochain, avec un vernissagedurant lequel vous aurez sans doute la chance de voir Alfounet ivre mort en train de danser sur les tables en chantant (évidemment) du Stephan Eicher. Je n'y serai malheureusement pas moi-même, retenu à l'étranger pour l'exercice sordide de ce que certains nomment "travail". Je ne manquerai pas d'y passer en revanche quelque part entre entre le début, la fin et le milieu ; possibilité d'organiser des cars de lecteurs du Golb.
Les infos (les vraies) sont à retrouver ICI.
Vous l'ignorez, car nous le fêtons généralement dans la plus stricte intimité d'un grand hôtel lillois réputé pour ses animations de soirées, mais voilà déjà cinq ans qu'Alf et moi collaboronsensemble. Je ne sais pas lui, mais moi, je n'ai pas vu le temps passer. Je ne vous ferai pas le panégyrique de toutes les qualités humaines de mon camarade ; il suffit pour vous donner une idée du personnage de savoir que jamais une tête de con comme moi n'a été capable de collaborer de manière régulière avec quelqu'un durant aussi longtemps. C'est vous dire si Alf est un homme extraordinaire, qui gagne à être connu, et si je ne suis pas peu fier que l'anniversaire de notre rencontre coïncide avec sa première exposition, prélude à ce qui sera je l'espère une longue et grande carrière solo pleine d'amour, de gloire, de beauté et de filles faciles. Selon les jours, Alf est soit comme un enfant un peu couillon que j'ai vu grandir avec plaisir, soit comme un cousin un peu chiant que j'aime bien quand même, soit - le plus souvent - comme un petit chinois que je ferais travailler au black dans mon sous-sol. Mais surtout, Alf est un vieux copain sans qui ce blog ne serait pas tout à fait ce qu'il est, et l'une des très rares personnes à pouvoir en critiquer certains aspects sans se faire traiter de noms que je n'oserais pas écrire à une heure de grande écoute. Autant le dire, ce triomphe solo m'angoisse même un peu, car si Le Golb existait bien avant notre couple, je ne suis pas convaincu qu'il survivrait à une rupture. En cinq ans, j'ai souvent embêté Alf, lui en ai fait voir des vertes et des pas mûres... j'ai même été un jour jusqu'à lui faire illustrer un édito pour en publier un totalement différent le jour venu. Pas en reste, il n'a jamais hésité à se venger en me représentant dans des positions parfois extrêmement compromettantes, en me dessinant comme un vieux poivrot obèse et même en me disant un jour d'aller me faire foutre et qu'il n'illustrerait jamais un article sur le foot. Mais au milieu de tout cela, il était bien question d'amour, peut-être un peu vache mais allons : j'ai tout de même un de ses dessins au-dessus de mon bureau, et lui même un de mes textes encadrés et... attendez, non, en fait. Je ne crois pas qu'il ait accroché un de mes textes au-dessus de son bureau... quel enfoiré, quand j'y pense...
Enfin bref. Alf, rien que sur ce blog, c'est tout de même la bagatelle de cent-douze numéros de la rubrique Golb this World!!!, sans parler des dessins hors séries et des featurings occasionnels chez mes (autres) camarades d'Interlignage. C'est donc avec plaisir que je vous convie quelque part sur le Campus de la Plaine (oui, c'est en Belgique) quelque part entre le 18 avril et le 28 juin prochain, avec un vernissagedurant lequel vous aurez sans doute la chance de voir Alfounet ivre mort en train de danser sur les tables en chantant (évidemment) du Stephan Eicher. Je n'y serai malheureusement pas moi-même, retenu à l'étranger pour l'exercice sordide de ce que certains nomment "travail". Je ne manquerai pas d'y passer en revanche quelque part entre entre le début, la fin et le milieu ; possibilité d'organiser des cars de lecteurs du Golb.
Les infos (les vraies) sont à retrouver ICI.